• Impossible peau lisse.

    Impossible peau lisse.

    Sans suçons et c'est sans doute la folie féroce.
    Te voir vraiment, vite, mon ventricule ventile par salve de vide, là.

    Sauver l'amour, hein. Tu parles d'un vaurien. Vitriol de variété.  Rien à sauver, ouais. Sauvons nous. Sauvons nous tous. Vite.  Fuyons la froide fissure  des impossibles peaux lisses.
    Fuir et finir, quand même froissé, fané.
    Finir, quoi.
    Finir, pauvre con.

    Sans doute un semblant de songe blanc, un sirop acide, oui.
    Des certitudes en forme de serpent sssssournois, le con, encore une fois.
    Nos carcasses courbées dans le divan, un carnage avancé.
    Corps cramés arnachés à l'ombre du carnassier. 
    S'aimer à reculons. Que faire d'autre que chuter. Chacun. Pour. Soi.
    Alors, se taire suffit pour s'enterrer.
    Alors tant pis pour ce café, cette calme tempête, cette noix retournée.
    Mangue trop faite et manque, tout à faire. 
    Le vertige et l'absence. L'inévitable contre sens.
    Interdiction d'aller plus loin. (arret pretexte au râle)

    Bien au loin, la forêt, la salope, parlera de pâleur, d'animaux et de clopes.
    Pensera au silence des sens, à tes seins,
    à mon coeur.
    Et puis le vent,
    tu verras,
    soufflera dans les feuilles
    le même vent qu'hier et le même que
    demain.

    Les arbres n'ont rien
    à faire
    de nos connes déroutes.


      


    Tags Tags : , , , ,
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :